L’italien nécessite d’une politique linguistique qui lui permette de rivaliser avec les autres langues, surtout avec l’anglais, sur une scène internationale où l’opposition est parfois acharnée. De là le besoin d’élaborer un manifeste, en plusieurs points, qui puisse constituer la base pour effectuer une série d’interventions opérationnelles ayant pour but l’adoption d’une bonne politique de promotion et de protection de la langue italienne en Europe (et ailleurs).
Massimo Arcangeli, linguiste, sociologue de la communication, critique littéraire, écrivain, est professeur auprès de l’Université de Cagliari. Il collabore avec des journaux nationaux tels que La Stampa, Il Manifesto, La Repubblica.
Giuliana Schiavi, traductrice et théoricienne de la traduction, est professeure auprès de l’École supérieure des médiateurs linguistiques de Vicenza, ainsi que vice-président de la Fondation Unicampus San Pellegrino.
À l’occasion de la XVIIIe édition de la Semaine de la langue italienne dans le monde.
Sous le haut patronage du Président de la République italienne.